Psychologue pour enfants, anxiété, troubles du développement, hyperactivité…


Diplôme

  • D.E.S.S de psychologie clinique et de psychopathologie
  • Université LYON II - 1994
  • N° ADELI : 83 93 00407

Psychologue clinicienne, Marie-Luce Lelièvre reçoit les enfants au sein de son cabinet situé à Toulon (83). Hyperactivité ou retrait et inhibition, difficultés d'apprentissage, peurs excessives ou insistantes, terreurs, pour ne citer que ces exemples sont autant de symptômes du mal-être chez l'enfant qu’il y a lieu d’entendre lorsque ceux-ci persistent. Ils peuvent être remarqués dans la famille de l’enfant ou dans les lieux qui l’accueillent : maisons vertes, crèches, école et autres établissements scolaires. Ce qui fait symptôme au regard des adultes ne l’est pas forcément pour l’enfant. Pour autant, la consultation d’un psychologue lui permettra peut-être d’énoncer ce qui le met en souffrance. La consultation sert à estimer la valeur de ce qui fait symptôme, pour l’enfant, sa gravité ; elle permet d’orienter l’enfant sur des modalités de traitement adaptées si nécessaire.

Les moments charnière de la vie de l’enfant sont propices à des manifestations symptomatiques de son angoisse. L’entrée à la crèche, à l’école maternelle, primaire, au collège sont des moments qui nécessitent des réaménagements psychiques liés à la séparation. Toute expérience de séparation (déménagement, changement d’école, divorce des parents, déménagement d’un ami…) mobilise tout un chacun psychiquement. Les enfants, moins équipés que les grands, pour formuler ce qui les traverse montrent plus qu’ils ne disent : l’enfant fait des cauchemars, ne veut pas aller se coucher ; à l’école, il aura du mal à apprendre, à écouter, il sera bagarreur …

D’autres symptômes peuvent faire signe d’une pathologie ou d’une difficulté avec laquelle il faudra composer : dyslexie, dyspraxie… Les troubles du spectre autistique et les retards du développement sont à repérer.

Des entretiens préalables sont nécessaires pour estimer de quoi il retourne et définir le type de prise en charge. L’orientation vers une prise en charge institutionnelle peut s’avérer nécessaire si la prise en charge en libéral est jugée insuffisante ou inadaptée. Il appartient au psychologue d’en discuter avec les parents de l’enfant qui restent, quoi qu’il en soit, décisionnaires.

La loi exige l’accord des deux parents d’un enfant mineur, quand l’autorité parentale est partagée, pour qu’il soit amené à une consultation psychologique.

contactez Marie-Luce Lelièvre, psychologue pour enfants, situé à Toulon (83).


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Maux de ventre, peur du noir, tristesse


Si les causes somatiques des maux de ventre chez l'enfant sont multiples et variées, les causes psychologiques, elles, sont bien souvent induites par l'anxiété. Avec un psychologue l’enfant pourra mettre un dire sur une manifestation de son corps.

La peur du noir et les cauchemars sont des manifestations naturelles du développement de l’enfant. qui traduisent ses angoisses en lien avec la séparation, la perte, le sentiment d’insécurité. Il traite ses questions à travers les histoires qu’on lui raconte, celles qu’il entend, celles qu’il se raconte, les discussions avec ses parents, les jeux symboliques.

C’est quand les symptômes insistent, quand une peur s’installe qu’une consultation psychologique s’avère nécessaire.

Tristesse, agressivité


Tristesse et agressivité sont souvent les deux faces d’une même médaille. Elles ne sont pas anormales en soi. C’est leur persistance ou leur insistance qui peuvent questionner sur leur sens. Quand les causes restent opaques ou quand il devient trop difficile d’en gérer les manifestations à la maison et au quotidien, un accompagnement psychologique peut être envisagé.

Agitation, hyperactivité


L’enfant qui s’agite tout le temps, qui a du mal à rester en place, celui qui est bavard en classe, celui qui n’arrive pas à ne pas se précipiter dans tout ce qu’il entreprend, est étiqueté comme souffrant de trouble de l’attention ou trouble neuro développemental. Il peut faire l’objet de traitement médicamenteux, le temps de l’école, ce qui limite l’empêchement fait aux apprentissages. Pour autant, une fois l’effet du médicament passé, l’agitation se manifeste de nouveau.

L'hyperactivité peut-être considérée comme un symptôme psychique au sens où l’enfant à probablement quelque chose à en dire, même si celle-ci est atténuée par un traitement médicamenteux. A quoi cela tient-il qu’il ne trouve pas l’apaisement nécessaire aux relations sociales et aux apprentissages ? Et quelle qu’en soit la cause, ne souffre-t-il pas de son symptôme ? L’écoute que fait le psychologue d’un enfant n’a pas de visée normative. Il s’agit de l’aider à repérer ce qui, pour lui, ne va pas et de l’aider à élaborer ses propres solutions ou aménagements psychiques et concrets.